Une introduction confiée aux cuivres instaure un climat de calme et de sérénité, prolongé par le frémissement des cordes.
Soudain, surgit le chant mélancolique d’un cor anglais, comme une berceuse. Sa mélodie utilise le mode pentatonique (gamme de 5 sons) caractéristique de la musique traditionnelle américaine.
Dvořák s’est inspiré de cette musique folklorique pour composer cette symphonie dite « du Nouveau Monde » commandée par l’Orchestre philharmonique de New York. Ce sera un véritable triomphe !
Quelle star ce Dvořák !